Pourquoi les commerçants payent encore trop cher leurs services bancaires ?
Frais de tenue de compte, commissions sur les paiements par carte, abonnements mensuels pour les terminaux de paiement… Les commerçants français sont confrontés à une accumulation de frais bancaires qui grèvent leur rentabilité. Comment expliquer cette situation et quelles sont les options pour réduire ces dépenses ? Analyse détaillée.

Entre inflation persistante, marges en baisse et pression fiscales croissantes, les commerçants français ont impérativement besoin de réduire leurs charges fixes. Pourtant, un poste reste trop souvent négligé, celui des services bancaires. Beaucoup de professionnels acceptent encore, que ce soit par habitude ou faute de temps, de payer plusieurs milliers d’euros par an en frais de gestion, commissions ou abonnements superflus.
Un statu quo coûteux, d’autant plus paradoxal que des solutions nouvelles, simples et innovantes, permettent désormais de réduire drastiquement la facture, sans rogner sur les services essentiels.
Des frais bancaires qui grimpent sans justification
Dans son dernier rapport annuel, l’Observatoire des tarifs bancaires de la Banque de France montre en effet que les frais liés aux comptes professionnels ont progressé ces dernières années, à rebours de la tendance observée pour les particuliers. Et pour cause, contrairement à ces derniers, les professionnels sont assujettis à une multitude de frais :
- Les frais de tenue de compte, qui vont varier de 8 € à 50 € HT par mois, en fonction de la banque choisie et des avantages et services inclus.
- Les commissions de mouvement, qui correspondent aux frais que prélèvent les banques sur les comptes bancaires professionnels lors de certaines opérations débitrices, comme le paiement des fournisseurs ou encore les virements vers d’autres banques. Cette commission est calculée en pourcentage du total des débits sur une période donnée, et varie entre 0,05 % et 0,3 %.
- Les frais liés à l’utilisation d’une carte bancaire professionnelle, qui varient de 30 € à 140 € par mois.
- Les frais de découvert et agios, qui peuvent rapidement devenir très importants selon les établissements.
- Les frais d’accès aux services en ligne. Certaines banques, même en 2025, facturent toujours l’utilisation des services en ligne.
Au total, ces divers frais bancaires professionnels s’élèvent en moyenne à 1 700 € par an ! Un chiffre d’autant plus élevé qu’il ne prend pas en compte les frais liés à l’encaissement par carte bancaire, qui représentent pourtant le plus gros coût pour les commerçants. Ces frais varient en moyenne entre 0,5 % et 2,5 % du montant de chaque transaction, en fonction des conditions spécifiques de chaque commerce et des cartes utilisées. Avec là encore des frais additionnels : location mensuelle du terminal de paiement électronique (TPE), frais de maintenance ou de mise à jour, coût d’installation ou de dépôt de garantie pour certaines banques…
Si les commençants sont fortement pénalisés par les frais bancaires, c’est parce qu’ils n’ont pas une solution adaptée à leur activité.
Tous ces frais bancaires cumulés représentent ainsi souvent un coût de plusieurs milliers d’euros par an. Sachant que la période d’activité d’un commerçant s’étale sur plusieurs années, voire sur plusieurs décennies, la facture peut ainsi devenir très salée.
Des offres mal calibrées pour les petites entreprises
Si les commençants, et plus généralement une grande partie des TPE/PME, sont autant pénalisés par l’importance de ces frais bancaires, c’est en grande partie parce qu’ils ne disposent pas d’une solution adaptée aux caractéristiques spécifiques de leur activité. Les petites entreprises sont souvent les oubliées de la stratégie des banques commerciales traditionnelles. Alors que les grands comptes bénéficient d’offres sur-mesure, les petites structures doivent de leur côté composer avec des packages standardisés, conçus pour des entreprises aux volumes d’activité plus importants. Résultat, elles se retrouvent à payer pour des services inadaptés, voire inutiles. À titre d’exemple, certains forfaits incluent des facilités de trésorerie, des virements internationaux ou encore des volumes de virements démesurés au regard des besoins des TPE/PME.
Les offres manquent également de flexibilité. De nombreuses entreprises, et notamment dans le commerce, se retrouvent enfermées dans des formules rigides avec peu d’options à la carte. Les possibilités de négocier les frais, comme les commissions sur carte ou les frais de tenue de compte, sont également très limitées.
Beaucoup de commerçants ne changent pas de banque par peur de procédures complexes, mais rester par défaut a un coût…
Enfin, le manque de clarté reste un obstacle majeur. Les grilles tarifaires publiées par les banques sont souvent d’une grande complexité. Il est presque impossible de comparer deux établissements sans faire appel à un expert. Face à ce manque de lisibilité, beaucoup de commerçants ne changent pas d’établissement, par peur de procédures complexes ou de rupture dans leurs services. Mais rester par défaut a un coût, et les montants en jeu méritent une véritable mise en concurrence des offres.
Noelse : une alternative tout-en-un, pensée pour les commerçants
Dans ce contexte, de nouveaux acteurs ont naturellement émergé pour proposer des offres alternatives aux banques traditionnelles. Portées par la vague des fintechs, ces solutions 100 % digitales séduisent par leur promesse de simplicité, de transparence tarifaire et de services adaptés aux besoins réels des commerçants.
C’est dans ce paysage en pleine mutation que s’inscrit Noelse, une entreprise basée en France, donc couverte par le Fonds de Garantie des Dépôts, spécialisée dans les paiements professionnels. Agréée par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) depuis 2011 et avec plus de 1,8 millions de transactions opérées l’an passé, Noelse s’impose progressivement comme un acteur de référence de l’écosystème bancaire pour les professionnels et plus particulièrement pour les commerçants.
Les banques digitales séduisent par leur simplicité, leur transparence tarifaire et leurs services adaptés aux besoins des commerçants.
Noelse propose ainsi une formule particulièrement attractive, le Pack Commerçant. Une offre dédiée aux indépendants qui regroupe tous les services essentiels, avec un tarif unique de 99 €/mois, ou 999 €/an, sans frais cachés, ni engagement à long terme. Là où la plupart des banques multiplient les lignes de frais, l’offre Noelse se distingue par une transparence totale. Le commerçant sait exactement ce qu’il paie chaque mois, ce qui lui permet de mieux piloter sa trésorerie. Autre atout de taille, la simplicité d’installation, avec une inscription qui se déroule 100% en ligne en quelques étapes, et un TPE livré sous 48h, prêt à l’emploi. Une solution digitale qui ne sacrifie pas pour autant le service client et propose au contraire un accompagnement personnalisé lors de la configuration du TPE, avec des conseillers basés en France et disponibles au quotidien.
Attendre encore… ou évaluer rapidement une nouvelle offre ?
Faut-il alors continuer avec des frais bancaires qui au fil du temps plombent la marge et de fait impactent directement le revenu ou faut-il se tourner, sans forcément changer de banque, vers ce type de solution digitale adaptée aux besoins spécifiques de son activité. Frais réduits, gestion simplifiée, sécurité, rapidité d’exécution… autant d’arguments qui doivent inciter les professionnels à franchir le pas, ou à minima se renseigner !
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