Comment Noelse aide les commerçants à récupérer du pouvoir d’achat ?

Dans un contexte de hausse généralisée des charges, la question des frais bancaires reste souvent mise de côté par les commerçants. Pourtant, leur réduction peut constituer un levier immédiat pour regagner en trésorerie et en marge de manœuvre.

En proposant une offre claire et forfaitaire, Noelse permet aux commerçants de reprendre la main sur leurs dépenses et, in fine, de regagner du pouvoir d’achat. Explications détaillées et exemples chiffrés.

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Tenue de compte, frais d’opérations, location du terminal, commissions sur encaissements… Les frais bancaires peuvent rapidement représenter un poste de dépense conséquent dans un commerce. Au total, la facture peut peser plusieurs centaines d’euros, voire même plusieurs milliers d’euros pas mois pour les établissements qui réalisent de nombreux encaissements.

Une véritable problématique pour la trésorerie des entreprises, et qui a conduit à l’émergence de nouveaux acteurs bancaires. Parmi eux, Noelse, agréée par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) depuis 2011, et qui se démarque aujourd’hui avec une offre tout-en-un à destination des commerçants. Explications.

Une multitude de frais bancaires qui pèse sur la rentabilité

Les frais bancaires des commerçants se concentrent principalement autour de trois grands postes. En premier la part fixe, qui regroupe les frais de tenue de compte et moyens de paiement (abonnements, cartes, options liées aux packages). Vient ensuite la monétique, à la frontière du fixe et du variable : un terminal de paiement (loué ou acheté), et un flux d’encaissements qui génère des commissions proportionnelles au volume et au type de cartes. Enfin, des frais annexes s’ajoutent au fil des mois : virements facturés selon les contrats, télécollecte, rejets, oppositions, opérations manuelles…

Pris séparément, ces montants peuvent paraître supportables. Pourtant agrégés sur l’année, ils entament la marge, d’autant que la part des paiements par carte progresse chaque année, et amplifie l’effet des commissions.

Transformer une dépense éclatée en coût maîtrisé

Dès lors, de plus en plus d’entreprises, et particulièrement dans le commerce, ont aujourd’hui tout intérêt à basculer vers un modèle forfaitaire, qui recentre la facturation sur l’essentiel : un prix de base connu, un volume d’encaissements inclus, puis un barème explicite au-delà. Ce cadre fixe permet d’anticiper le coût mensuel des frais bancaires, et ainsi de mieux prévoir ses besoins en trésorerie. Il supprime aussi les redondances fréquentes (abonnement de compte, location de TPE, frais de transmission…) et limite les micro-frais dispersés. À la clé, une « ligne banque » plus stable, plus lisible, et donc forcément mieux pilotable.

Lire aussi : Frais bancaires : pourquoi les commerçants payent encore trop cher ?

Noelse recentre la facture sur l’essentiel

Une démarche de transparence et de maîtrise des coûts dans laquelle s’inscrit aujourd’hui Noelse, avec notamment le Pack Commerçant. Une offre dédiée aux indépendants qui regroupe tous les services essentiels, avec un tarif unique de 99 €/mois, ou 999 €/an, sans frais cachés, ni engagement à long terme. Et surtout qui permet de réaliser des économies non négligeables, qui peuvent se chiffrer à plusieurs milliers d’euros sur la durée.

Exemples concrets :

Hypothèses constantes pour les cas présentés ci-dessous :

  • Banque « traditionnelle » : 80 € de frais bancaires mensuels fixes (frais de tenue de compte, carte professionnelle, location du TPE, frais d’opérations…) + 1,40 % de commission sur encaissements.
  • Opérateur de paiement via terminal mobile / appli : commission sur encaissements moyenne de 1,65 %, sans location de terminal (matériel fourni via l’appli ou en prêt). Pas de frais fixes supplémentaires, mais un coût proportionnel au volume encaissé.
  • Forfait Noelse : Frais bancaire d’un montant de 99 € HT/mois tout compris, avec 5 000 € d’encaissements mensuels inclus, et une commission de 0,7 % au-delà de 5 000€ encaissés.

1) Boutique de mode

  • Profil d’activité : Encaissements par carte bancaire d’environ 15 000 € / mois.
  • Coût mensuel avec une banque traditionnelle : Part fixe moyenne de 80 € / mois + commissions moyenne sur encaissement de 1,40 % × 15 000 € = 210 € / mois. Ce qui correspond à un coût moyen de 290 € / mois, soit un total de 3 480 € / an.
  • Coût mensuel avec un opérateur de paiement via terminal mobile / appli : 15 000€ × 1,65 % = 248 € / mois. Soit un coût moyen de 2 976 € / an, sans frais supplémentaires.
  • Coût mensuel avec Noelse : Part fixe de 99 € / mois ; 5 000 € d’encaissements inclus, puis 10 000 € × 0,7 % = 70 €. Ce qui correspond à un coût moyen de 169 € / mois, soit un total de 2 028 € / an.
  • Total annuel économisé avec l’offre Noelse : 1 452 € par rapport à une banque traditionnelle, et 948 € par rapport à un opérateur mobile.

Lecture : Avec des volumes fluctuants selon les collections et les soldes, la prévisibilité de la base fixe aide à caler les budgets de communication et les achats de saison. L’intégration du TPE évite de relancer des renégociations matérielles à contre-temps. Le coût moyen par 100 € encaissés s’allège et demeure prévisible, y compris en cas de forte affluence.

2) Restaurant

  • Profil d’activité : Encaissements par carte bancaire d’environ 35 000 € / mois.
  • Coût mensuel avec une banque traditionnelle : Part fixe moyenne de 80 € / mois + commission moyenne sur encaissements de 1,40 % × 35 000 € = 490 € / mois. Ce qui correspond à un coût moyen de 570 € / mois, soit un total de 6 840 € / an.
  • Coût mensuel avec un opérateur de paiement via terminal mobile / appli : 35 000€ × 1,65 % = 578 € / mois. Soit un coût moyen de 6 936 € / an, sans frais supplémentaires.
  • Coût mensuel avec Noelse : Part fixe de 99 € / mois ; 5 000 € d’encaissements inclus, puis 30 000 € × 0,7 % = 210 €. Ce qui correspond à un coût moyen de 309 € / mois, soit un total de 3 708 € / an.
  • Total annuel économisé avec l’offre Noelse : 3 132 € par rapport à une banque traditionnelle, et 3 228 € par rapport à un opérateur mobile.

Lecture : Avec une forte intensité carte et des services concentrés sur les pics (soir, week-end, vacances…), le différentiel de commission pèse vite. Le forfait stabilise le coût moyen d’acceptation, y compris en saison, et évite la superposition de lignes (location TPE, options).

3) Commerce alimentaire

  • Profil d’activité : Encaissements par carte bancaire d’environ 20 000 € / mois.
  • Coût mensuel avec une banque traditionnelle : Part fixe moyenne de 80 € / mois + commission moyenne sur encaissements de 1,40 % × 20 000 € = 280 € / mois. Ce qui correspond à un coût moyen de 360 € / mois, soit un total de 4 320 € / an.
  • Coût mensuel avec un opérateur de paiement via terminal mobile / appli : 20 000€ × 1,65 % = 330 € / mois. Soit un coût moyen de 3 960 € / an, sans frais supplémentaires.
  • Coût mensuel avec Noelse : Part fixe de 99 € / mois ; 5 000 € d’encaissements inclus, puis 15 000 € × 0,7 % = 105 €. Ce qui correspond à un coût moyen de 204 € / mois, soit un total de 2 448 € / an.
  • Total annuel économisé avec l’offre Noelse : 1 872 € par rapport à une banque traditionnelle, et 1 512 € par rapport à un opérateur mobile.

Lecture : Sur l’alimentaire, la fréquence d’achat et les marges contenues imposent un coût d’acceptation le plus stable possible. L’intégration du TPE et d’un palier d’encaissements réduit les à-coups et clarifie la « ligne banque ».

4) Salon de coiffure / Institut de beauté

  • Profil d’activité : Encaissements par carte bancaire d’environ 10 000 € / mois.
  • Coût mensuel avec une banque traditionnelle : Part fixe moyenne de 80 € / mois + commission moyenne sur encaissements de 1,40 % × 10 000 € = 140 € / mois. Ce qui correspond à un coût moyen de 220 € / mois, soit un total de 2 640 € / an.
  • Coût mensuel avec un opérateur de paiement via terminal mobile / appli : 10 000€ × 1,65 % = 165 € / mois. Soit un coût moyen de 1 980 € / an, sans frais supplémentaires.
  • Coût mensuel avec Noelse : Part fixe de 99 € / mois ; 5 000 € d’encaissements inclus, puis 5 000 € × 0,7 % = 35 €. Ce qui correspond à un coût moyen de 134 € / mois, soit un total de 1 608 € / an.
  • Total annuel économisé avec l’offre Noelse : 1 032 € par rapport à une banque traditionnelle, et 372 € par rapport à un opérateur mobile.

Lecture : Avec une activité rythmée par les rendez-vous, des pics marqués en fin de semaine et une forte récurrence des paiements par carte, le coût d’acceptation doit rester stable dans ce secteur d’activité. Le forfait réduit la base fixe et encadre le variable au-delà de 5 000 € d’encaissements mensuels, ce qui facilite le pilotage des offres (forfaits, cartes cadeaux) sans alourdir la facture monétique. L’intégration du TPE évite par ailleurs les locations séparées et simplifie la gestion.

Bilan : Quel que soit le profil ou le volume d’encaissements étudié, Noelse ressort ainsi toujours gagnant, aussi bien par rapport aux banques traditionnelles que face aux opérateurs de paiement mobile. Les économies constatées vont de 372 € à plus de 3 200 € par an, avec en prime la simplicité d’un forfait fixe et l’intégration du TPE.

Une relation bancaire plus lisible

Réunir l’ensemble de ses services bancaires dans un forfait unique replace la dépense au service de l’exploitation : moins de lignes, moins d’aléas, plus de comparabilité. Pour le dirigeant, c’est du temps gagné (moins de décryptage tarifaire), et un indicateur de coût plus facile à suivre.

En réduisant les frais fixes et en rendant la facture plus lisible, le forfait de Noelse permet ainsi aux commerçants de limiter leurs charges, de sécuriser leur budget et de dégager plus de trésorerie. Un atout de taille dans un contexte économique difficile pour les commerçants, dans lequel chaque économie compte !

Pour en savoir plus sur l’offre de Noelse à destination des commerçants, cliquez ici.

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